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Faune sauvage

Protection faune sauvage & lutte anti braconnage

La biodiversité d’ordre mondiale est en perpétuelle déclin notamment due à 2 phénomènes majeurs :

  • La disparition des zones naturelles et sauvages au profit de la surexploitation forestière, minière, le développement des routes et des zones d’habitation.
  • Le braconnage à petite ou à grande échelle génère 160 milliards d’euros, 3e marché le plus lucratif derrière le Trafic de drogue et d’armes, à ne pas assimiler avec la chasse qui veille à l’année sur les animaux présents sur le terrain et ne prélèvent que les quotas autorisés.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • Suite aux autorisations de chasse très limitées et encadrées, les rhinocéros blancs ont incité à une plus grande protection de part la présence à l’année des gardes, pisteurs, rangers, guides, chasseurs….
  • Population rhinocéros blanc en 1968(année d’autorisation de la chasse) :2000 individus : En 2015 : plus de 18000 individus
  • Population rhinocéros noir en 2004 (année autorisation de la chasse) : 1800 individus : En 2015 : 3500 individus
    Source U.I.C.N 2016

Le Botswana possédait une population d’éléphant estimée à 130000 individus régulée et protégée par la chasse. Depuis l’interdiction de celle-ci, explosion du braconnage « industriel » : massacre à l’arme de guerre de troupeau entier (mâles, femelles gestantes, petits de l’année) afin d’alimenter un marché de l’ivoire de 18 milliards de dollars US.

Le braconnage des rhinocéros afin de satisfaire le marché asiatique est en expansion perpétuel dans toute l’Afrique sauf en Afrique australe (Afrique du sud et Namibie) pour lesquels la convention de Washington autorise le prélèvement de quelques individus.
C’est pourquoi, que l’on le veuille ou non, les seuls pays africains où les espèces animales se portent bien se situent dans les États où est autorisée la chasse encadrée et raisonnée.

L’U.I.C.N. L’O.N.U pour l’agriculture et l’alimentation et même le W.W.F reconnaissent sans équivoque et l’utilité de la grande chasse pour les espèces animales.

C’est pourquoi, je participe personnellement à la protection et lutte anti braconnage par l’intermédiaire de l’association MA.SA.RE